i'm an abomination, i'm god's creation. ((noctis))SPIRARE :: Personnages :: Présentations :: Fiches validées
# i'm an abomination, i'm god's creation. ((noctis))Lun 11 Jan - 23:51
Nom actuel : Noctis
Ancien nom & prénom : Elijah Fernoris
Âge de la mort : 23 ans
Groupe : Fléaux
Orientation sexuelle : le feu sacré en son sein dort - ne rien désirer d'autre que la mort.
Situation matrimoniale : rien d'autres que des fragments d'insouciance scellés.
Objectifs : noir le désir, troubles les intentions. la paix, le silence, ou rien du tout, le néant. il lui manque presque.
Nous soufflions la mort délicate, la vie, elle, ne nous a jamais vraiment souri.
Nous ne nous souvenons que des cicatrices,
Elles constellent notre être, elles constellent notre corps
Peut-être que notre coeur ne les oubliera jamais
Nous avons laissé quelques traces nous hanter ; Dieu sait à quel point nous avons regretté.
Les regards balancés à l’horizon sur le derme,
Semblant auparavant, infaillible aux coups,
Infaillible aux marques ; chaste.
Nous avions pensé que rien ne saurait plus le marquer
Que les traces charnelles oubliées dans l’espace temps.
Nous nous souvenons de la douleur
Des mots doucement malsains, de la trace colérique du blason familial.
Ô Elijah ; notre ancien, Ô Elijah notre délicat
L’âme scellée à la mort depuis bien des années
Des années que le Néant n’oublie - la présence demeure.
Pourtant Elijah nous avons cru, nous étions persuadé
Pourtant Elijah nous avons tant prié,
Futur meilleur ; amour éternel, nous nous étions tant trompés.
Douloureuses marques, amour façonné dans le désintérêt,
Elijah nous savions qu’il n’était pas seul, pourquoi avions-nous accepté,
Scrupuleusement, la main qu’il nous tendait ?
Pourquoi l’avions-nous prise, saisie comme l’espoir d’un bel avenir ?
Avions-nous songé que ses délicates mains frôleraient si désastreusement notre derme ?
Avions-nous songé que de la sorte il se délecterait de l’impuissance et du malheur ?
Nous n’avions pas songé.
(c’était de notre faute)
Nous songions qu’il était bon de l’aimer.
(nous avions tort)
Nous songions qu’il nous aimait aussi.
(nous nous étions trompés)
Nous songions qu’il éloignerait les démons de notre être.
(nous n’étions que notre propre démon)
Le derme arraché nous avons continué,
Pourquoi avions-nous continué ?
Nous étions déchirés ; rien n’était important.
Nous étions écorchés, nous étions détruits.
Et quand notre être peinait à avancer,
Nous sommes tombés, la chute était agréable,
Délicate.
Mais sur le gros rocher nous avions pleuré,
Et le sang finit par remplacer les larmes,
Nous avions écorché notre beau visage
(il était si sale à présent)
Nous avions mêlé le sang aux larmes
(la douleur remplaçait l’amour)
Rien n’avait de sens ; rien n’en a jamais eu,
Les ténèbres ont englouti la chair,
La chair s’est noyée dans le sang.
C’est une abomination.
(nous avons mérité cette sentence)
Les pas nous guident sur le chemin des ténèbres
De la nuit éternelle - nous ne ressentons plus la souffrance,
La douleur qui prend notre aine, qui ravage notre esprit
Qui peut donc désormais définir ce que nous ressentons ?
Tout n’est qu’abyssal,
Nous n’avons plus rien, pourtant nous donnons tout
Tout ce qu’il nous reste,
Nous offrons notre coeur, bien qu’il soit si sombre et creux
Sonne le glas ; la fuite est libre, comme la chute
Et des lames, et des coeurs pétrifiés
Nous les connaissons - nous les avons tant regardé souffrir
Pour au final les piétiner,
Car la douleur nous afflige, nous la connaissons
Mais nous, nous ne nous connaissons plus
Nous nous sommes oubliés,
C’était si douloureux.
Kozume Kenma (Haikyuu!!)
Noctis
Nom actuel : Noctis
Ancien nom & prénom : Elijah Fernoris
Âge de la mort : 23 ans
Groupe : Fléaux
Orientation sexuelle : le feu sacré en son sein dort - ne rien désirer d'autre que la mort.
Situation matrimoniale : rien d'autres que des fragments d'insouciance scellés.
Objectifs : noir le désir, troubles les intentions. la paix, le silence, ou rien du tout, le néant. il lui manque presque.
☾ le nez saignant presque quotidiennement depuis qu’il a quitté le néant ☾ repousse naturellement les gens, y compris ses compères ☾ ne se sent pas spécialement plus proche des fléaux que des hommes ☾ regrette pertinemment chacun de ses actes ☾ oiseau de nuit qui déteste la lumière, sans doute faute du néant ☾ rapport particulier avec la drogue et l’alcool, toutes ces choses qu’il déteste affectionner ☾ aime se poser dans les arbres pour regarder de plus haut ☾ tombe souvent faute d’équilibre ☾ a oublié une partie de son identité, faute d’errer ☾ a oublié la chaleur ☾ accoutrements plus agréables qu’esthétiques ☾ ne discerne plus le bien et le mal ☾ tendre la main est compliqué, la prendre encore plus ☾ aime les animaux, apprécie du moins leur compagnie ☾ l’esprit sauvage tranche vivement l’humanité ☾ grognements privilégiés aux mots ☾ son nom lui a été donné par la chef d’Harenae en référence aux pierres précieuses « Noctis » qui scintillent la nuit ☾ excellent chasseur ☾ flèches sans arc ☾ déteste l’odeur des fleurs ☾ il aurait préféré rester dans le Néant et y sommeiller pour toujours ☾ il ne sait pas pourquoi lui-même a lutté ☾ tellement de tentatives pour éternellement s’endormir pour si peu de résultats ☾ vagabond ☾ la première fois qu’il séjourna en dehors du Néant, il creusa d’énormes trous en espérant y retourner ☾ amateur de thé et de café ☾ récolte un peu d’argent de manière crapuleuse ☾ se genre très - trop maladroitement ☾ le corps pleurant de marques d’ailleurs ☾ de marques d’autrui qui ne s’effacent pas mais lourdement demeurent.
D’ailleurs pleure le corps qui dort ; sommeille les cris vaillants
N’avions-nous pas le courage de le faire taire ?
N’avions-nous pas la volonté de l’abattre ?
La pauvre bête qui dans l’aube dort, qui dans le crépuscule s’illumine
Nous avions trop longtemps regardé la carcasse mourante
Nous l’avions tué, il était trop tard
Nous l’avions tué, nous n’avions rien remarqué
(mensonges)
Nous avions pourtant tant pleuré,
Notre sentence était la sienne
(pourquoi ?)
Figé dans l’espace temps, nous courrions
Recherche d’un passé lointain
D’un futur indécis,
D’un présent immonde
Nous nous sommes cherchés,
Sans jamais ne rien trouver.
Nous aimerions tant retrouver la chaleur
Celle de doux bras amants
(elle nous a tant blessé la dernière fois)
Nous aimerions tant nous rappeler
De la sensation des doux baisers
(ils nous ont tant écorché auparavant)
Nous n’épargnerons pas les doux souvenirs
(si seulement nous nous souvenions d’eux)
Mais il n’y a plus rien ainsi nous pleurons
Ainsi la larme plate, ainsi la lame délicate
Dépose un doux baiser, chaste et véhément
Sur le front sinistre qui s’étend, sur le corps tremblant
Il quémande la chaleur du monde et implore
Seigneur - il ne se sent plus exister
Pour lui qui a tant pêché
(pour lui qui désire cesser d’exister)
Soignez ses blessures et offrez-lui
Un doux cercueil plein de grâce,
Un doux lit de mort où siège la peine
La colère et l’amour disparaissant
Seigneur offrez-lui de quoi pleinement,
Disparaître demain matin au tournant.
D’ailleurs pleure le corps qui dort ; sommeille les cris vaillants
N’avions-nous pas le courage de le faire taire ?
N’avions-nous pas la volonté de l’abattre ?
La pauvre bête qui dans l’aube dort, qui dans le crépuscule s’illumine
Nous avions trop longtemps regardé la carcasse mourante
Nous l’avions tué, il était trop tard
Nous l’avions tué, nous n’avions rien remarqué
(mensonges)
Nous avions pourtant tant pleuré,
Notre sentence était la sienne
(pourquoi ?)
Figé dans l’espace temps, nous courrions
Recherche d’un passé lointain
D’un futur indécis,
D’un présent immonde
Nous nous sommes cherchés,
Sans jamais ne rien trouver.
Nous aimerions tant retrouver la chaleur
Celle de doux bras amants
(elle nous a tant blessé la dernière fois)
Nous aimerions tant nous rappeler
De la sensation des doux baisers
(ils nous ont tant écorché auparavant)
Nous n’épargnerons pas les doux souvenirs
(si seulement nous nous souvenions d’eux)
Mais il n’y a plus rien ainsi nous pleurons
Ainsi la larme plate, ainsi la lame délicate
Dépose un doux baiser, chaste et véhément
Sur le front sinistre qui s’étend, sur le corps tremblant
Il quémande la chaleur du monde et implore
Seigneur - il ne se sent plus exister
Pour lui qui a tant pêché
(pour lui qui désire cesser d’exister)
Soignez ses blessures et offrez-lui
Un doux cercueil plein de grâce,
Un doux lit de mort où siège la peine
La colère et l’amour disparaissant
Seigneur offrez-lui de quoi pleinement,
Disparaître demain matin au tournant.
LA MORT
Nous soufflions la mort délicate, la vie, elle, ne nous a jamais vraiment souri.
Nous ne nous souvenons que des cicatrices,
Elles constellent notre être, elles constellent notre corps
Peut-être que notre coeur ne les oubliera jamais
Nous avons laissé quelques traces nous hanter ; Dieu sait à quel point nous avons regretté.
Les regards balancés à l’horizon sur le derme,
Semblant auparavant, infaillible aux coups,
Infaillible aux marques ; chaste.
Nous avions pensé que rien ne saurait plus le marquer
Que les traces charnelles oubliées dans l’espace temps.
Nous nous souvenons de la douleur
Des mots doucement malsains, de la trace colérique du blason familial.
Ô Elijah ; notre ancien, Ô Elijah notre délicat
L’âme scellée à la mort depuis bien des années
Des années que le Néant n’oublie - la présence demeure.
Pourtant Elijah nous avons cru, nous étions persuadé
Pourtant Elijah nous avons tant prié,
Futur meilleur ; amour éternel, nous nous étions tant trompés.
Douloureuses marques, amour façonné dans le désintérêt,
Elijah nous savions qu’il n’était pas seul, pourquoi avions-nous accepté,
Scrupuleusement, la main qu’il nous tendait ?
Pourquoi l’avions-nous prise, saisie comme l’espoir d’un bel avenir ?
Avions-nous songé que ses délicates mains frôleraient si désastreusement notre derme ?
Avions-nous songé que de la sorte il se délecterait de l’impuissance et du malheur ?
Nous n’avions pas songé.
(c’était de notre faute)
Nous songions qu’il était bon de l’aimer.
(nous avions tort)
Nous songions qu’il nous aimait aussi.
(nous nous étions trompés)
Nous songions qu’il éloignerait les démons de notre être.
(nous n’étions que notre propre démon)
Le derme arraché nous avons continué,
Pourquoi avions-nous continué ?
Nous étions déchirés ; rien n’était important.
Nous étions écorchés, nous étions détruits.
Et quand notre être peinait à avancer,
Nous sommes tombés, la chute était agréable,
Délicate.
Mais sur le gros rocher nous avions pleuré,
Et le sang finit par remplacer les larmes,
Nous avions écorché notre beau visage
(il était si sale à présent)
Nous avions mêlé le sang aux larmes
(la douleur remplaçait l’amour)
Rien n’avait de sens ; rien n’en a jamais eu,
Les ténèbres ont englouti la chair,
La chair s’est noyée dans le sang.
- +++:
- Elijah se donna la mort en tapant sa tête de nombreuses fois, violemment contre un rocher. Jusqu'à se détruire le visage; jusqu'à se noyer dans le sang et finir par succomber.
Histoire
C’est une abomination.
(nous avons mérité cette sentence)
Les pas nous guident sur le chemin des ténèbres
De la nuit éternelle - nous ne ressentons plus la souffrance,
La douleur qui prend notre aine, qui ravage notre esprit
Qui peut donc désormais définir ce que nous ressentons ?
Tout n’est qu’abyssal,
Nous n’avons plus rien, pourtant nous donnons tout
Tout ce qu’il nous reste,
Nous offrons notre coeur, bien qu’il soit si sombre et creux
Sonne le glas ; la fuite est libre, comme la chute
Et des lames, et des coeurs pétrifiés
Nous les connaissons - nous les avons tant regardé souffrir
Pour au final les piétiner,
Car la douleur nous afflige, nous la connaissons
Mais nous, nous ne nous connaissons plus
Nous nous sommes oubliés,
C’était si douloureux.
- Résumé:
- - il était le vilain petit canard des Fernoris, peu déterminé et fainéant ; il ne trouvait d'intérêt dans rien.
- et quand bien même quelque chose lui plaisait, son père lui faisait comprendre qu'il n'arriverait à rien, coups physiques et blessures morales qui ne guérissaient pas.
- la négativité d'Elijah naquît de cela, coups, fugues, désobéissance, l'enfant se sentait seul et détesté, ne se trouvant de place nul part.
- effrayé par la négativité de leur enfant, les Fernoris marièrent Elijah au premier venu. la quête fut longue et périlleuse, et ils découvrirent un Positif qui accepta la liaison et le mariage pour une modique somme d'argent.
- malgré le mariage, Elijah ne se sentit pas mieux. au contraire, son époux, un homme bien plus âgé qui ne l'attirait pas plus qu'il le rassurait.
- l'homme se montra bien plus aimant qu'il n'y paraissait. Elijah songea que tous deux pouvaient s'aimer. ils passèrent une bonne partie de leur vie ensemble. la positivité égayant, rien qu'un peu, le quotidien d'Elijah.
- tout n'était pas toujours très clair entre eux, Elijah n'étant pas facile à supporter ; faute de négativité. il avait pourtant un fervent désir d'avoir une belle vie à ses côtés. il aurait pu s'en sortir.
- lorsqu'Elijah lui avoua qu'il pensa pouvoir l'aimer un jour, la déclaration n'eut pas l'effet escompté. un rire douloureux et quelques mots ; l'homme se fichait de lui, ne désirait que l'argent qu'on lui offrait en échange, et autre chose. cet autre chose, il lui offrit par la profanation de son être tout entier.
- incommensurablement détruit, Elijah partit dans la nuit se donner la mort - après une infinité de cauchemars, en s'explosant le crâne contre une roche.
- il se réveille à moitié dévoré par les ténèbres ; le Néant. Noctis est dévasté d'avoir encore à supporter la douleur qui grouille dans ses entrailles, elle ne partira jamais. il désire aussitôt retourner sur Terre et se donner de nouveau la mort, pensant que c'était la solution d'un repos éternel. mais la faille peinera à s'ouvrir.
- après quelques mois, une faille s'ouvre enfin. face à lui, une fillette. de ce que les Fléaux lui ont dit, il devra la tuer ou faire un pacte. mais Noctis n'est pas le plus admirable des Fléaux, et il ne peut pas tuer l'enfant ni la contraindre. la faille finit par se refermer et l'engloutir de nouveau.
- dans le Néant, il fait d'autres rencontres, certaines moins agréables que d'autres. les Fléaux lui reprochent son humanité, notamment cette bague de fiançailles qui demeure sur son annulaire. il n'arrive pas à s'en séparer, alors qu'elle a ruiné sa vie. en livrant son existence à certains Fléaux, certains le motivent à retourner sur Terre et tuer pour errer. Noctis ne sera d'abord pas convaincu, mais le temps et la cruauté du Néant lui arrachent son humanité.
- il tuera sans tarder la personne qu'il découvrira dans l'ouverture de sa prochaine faille. Noctis suit les suggestions faites par les Fléaux, mais après quelques temps à errer sur Terre, il se donnera lui-même la mort, ne trouvant finalement aucune raison de rester en vie.
- le cycle se répète, les Fléaux disparaissent à vue d'oeil dans le Néant, trouvant leur place sur Terre. Noctis, aveuglé par la non-compréhension de sa survie se remet en cause ; il ne veut plus vivre. un des Fléau lui suggère ainsi de se proclamer Fléau et de se laisser tuer. Noctis finira par opter pour cette solution.
- Énième faille, Noctis finira tué par l'épée d'un soldat. alors qu'il pense enfin trouver la plénitude, le voilà qui se réveille, dans le Néant. la douleur est sans pareille à cet instant.
- avec le temps et les années, Noctis se rend compte qu'il ne vit qu'un cercle constant de mort - réincarnation et abandonne toute tentative de suicide. ce qu'il ne sait pas, c'est que son désir de mourir est présent à chaque instant, raison de son éternelle réincarnation, mais même les autres Fléaux ne sont pas conscients de cela et le nomment "celui qui erre".
- Noctis finit par errer sur Terre en tuant le Négatif l'ayant amené. les ténèbres du Néant lui manqueront, mais il veut parfois revoir la surface. un infime espoir naît en lui, retrouver celui qui possède probablement cette bague - s'il est encore en vie malgré les années passées.
- errer n'est pas chose facile pour Noctis, avec les nombreuses apparitions et réincarnations, son visage n'est pas inconnu, surtout d'Ardere.. Il ne compte plus le nombre de fois où il se fera tuer ; par tout et n'importe quoi, n'importe qui..
- Noctis ne compte plus ceux qu'il doit tuer, et n'a pas l'intention de faire un pacte, pas pour l'instant ; il préfère tuer sans préavis que d'avoir un contrôle sur l'existence des autres. pléonasme étrange quand il leur ôte la vie à peine sorti de Terre.
- Noctis passera sa vie en cavale, notamment à Harenae, où il fera la connaissance de la future chef, bien avant que ses parents ne meurent. C'est celle-ci qui lui donnera le nom de Noctis et un peu de chaleur ; elle ne connaissait pas ce Fléau errant et lui ne savait pas que quelques temps plus tard, elle dirigerait Harenae. il ne l'a pas revu depuis, mais il aborde fièrement le nom qu'elle lui a donné.
- ne pouvant étudier ou faire un métier comme les plus lambdas des humains, Noctis se résout à gagner un peu d'argent de manières crapuleuses. il n'a plus rien pour lui, ni plus rien qui lui importe. résigné à exister éternellement, il se lègue aux plaisirs de la vie qui sont en réalité de véritables tortures quotidiennes. Noctis n'hésite pas à vendre son corps, résoudre des services lugubres, de quoi avoir un peu d'argent. Noctis voyage - ne peut rester bien longtemps au même endroit, avec le temps, il connaît Spirare de mieux en mieux, mais ce qu'il aimerait l'oublier.
- aujourd'hui, ce n'est qu'une âme errante qui semble ne plus avoir une once d'humanité. mais il essaie, pourtant ce qu'il aimerait mourir.
OUI bonsoir, je poste une fiche vide car je suis irresponsable (non) bref c'est noctis le seul l'unique le grand c tipar pour un perso super chaotique comme on les aime
vous noterez l'horrible header que j'ai produit mais pas la foi de faire quelque chose d'aussi #dark pour l'instant, vs verrez c'est un bebou en plus.
vous noterez l'horrible header que j'ai produit mais pas la foi de faire quelque chose d'aussi #dark pour l'instant, vs verrez c'est un bebou en plus.
ASHLING POUR EPICODE
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# Re: i'm an abomination, i'm god's creation. ((noctis))Jeu 14 Jan - 23:07Bienvenue
Mdr je sors (je peux être ban pour ça)
Ō fondateur !
Ce personnage est monstrueusement ... monstrueux ? Non en vrai ta plume (ton clavier Azerty) m’a transporté. Ce que tu écris bien ! Et... wait la mort, je la visualise tellement ! Tellement d’amertume dans ce petit Corps tout jeune !
Voilà je voulais te le dire
Tellement de feel...!
Mdr je sors (je peux être ban pour ça)
Ō fondateur !
Ce personnage est monstrueusement ... monstrueux ? Non en vrai ta plume (ton clavier Azerty) m’a transporté. Ce que tu écris bien ! Et... wait la mort, je la visualise tellement ! Tellement d’amertume dans ce petit Corps tout jeune !
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# Re: i'm an abomination, i'm god's creation. ((noctis))Jeu 14 Jan - 23:08
Je veux crier prcq. J'ai oublié de te dire bienvenue chez toi alors qu'entre temps je stalkais de ouf la fiche pour voir l'avancée
Là je viens de finir la mort et du coup je pleure pcq ta plume m'avait manqué et pcq purée c'est si triste
Genre c'est pas juste de faire un méchant si doux
En plus kenma purée
Bienvenue chez toi
G très le seum parce que je suis pas first mais sinon je respire et ça c'est franchement cool .
Là je viens de finir la mort et du coup je pleure pcq ta plume m'avait manqué et pcq purée c'est si triste
Genre c'est pas juste de faire un méchant si doux
En plus kenma purée
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# Re: i'm an abomination, i'm god's creation. ((noctis))Ven 15 Jan - 20:13
Félicitations, tu es validé !
je m'autovalide parce que je le vaux bien.
[insérer pleins de compliments sur mon éternelle beauté (non)]
Tu es invité à te recenser dans cette section (www) et à poster ta fiche de liens ici (www). Tu peux également poster une recherche de rp dans ce sujet (www) et effectuer ta demande de liaison. (www)
Bon jeu sur Spirare !
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Bon jeu sur Spirare !
- Noctis
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